Un profond mal-être est encré chez Gabriel, un mal-être qui a avoir avec son passé, son histoire, sa vie, ce mal-être a peut-être et même sûrement déclanché cette qualité chez Gabriel, celle d’aider autrui et de pourchasser le Mal. Vous allez me dire, que comme tout les héros, Gabriel n’a aucun défaut ni psychologique ni physique, mais si, Gabriel a des défauts, comme tout être vivant, enfin même s’il n’est plus tellement vivant mais passons…

Gabriel tout d’abord est manipulateur, c’est d’ailleurs pourquoi il a appris la legillimencie et l’occlumencie, il aime manipuler, avoir le pouvoir, prendre en sa possession les esprits et pensées d’autrui ! C’est pourquoi ses yeux ont l’air si féroce et séduisant à la fois, ils sont aussi noirs que ses cheveux, d’un jais parfait comme à ses vingt ans. Après la manipulation, il est froid comme la glace, froid et stoïque, mais cette glace enferme en fait une immense flamme que jamais personne n’a pu découvrir, n’ayant pas trouvé son âme-sœur ou son âme-frère …

Bien qu’il aime manipuler, Gabriel est incroyablement généreux, mais il ne le montrera pas, il déguisera cette générosité, en la faisait paraître par de la pure haine, ou par une autre personne qu’il aura peut-être manipuler.

Le Vampire est grand et mince, son corps dégage cette même froideur, faisant peur aux plus petits. S’habillant généralement de noir, enfin exclusivement de noir, Gabriel n’est presque pas visible la nuit, glissant presque comme les Détraqueurs, sa démarche est régulière, décontracté et ressemblant presque à ceux des monarques. Sa baguette d’ailleurs reflète le physique de son possesseur, elle est grande d’environ trente trois centimètres, en bois d’ébène et transporte un crin de Sombral qui a assombrit la couleur déjà foncé de la baguette.

Les traits fins de son visage n’ont pas de rides, c’est un des symptômes du vampirisme, la vieillesse arrive bien plus tard que pour les humains ou les sorciers, et ainsi les vampires vivent plus longtemps. Ses oreilles sont presque pointues, défauts de naissance, au lieu de se retroussés comme toutes les autres oreilles, elles sont aplatie sur le haut de l’oreille. Presque imberbe, Gabriel se réjouit de ne pas avoir de poil si ce n’est au pubis, il a horreur des poils.

Un jour de pluie à Londres, c’est-à-dire l’un des trois cent soixante jours sur lequel on peut tomber quand on est de passage à Londres. Les passager sont nombreux sur la grande avenue, en voiture, en vélo, en scooter, à pied, tous sont pressés, il est presque neuf heures du matin et l’entreprise attend ses employés.

Le Vampire se font dans l’innombrable masse de Moldu, habillé d’une cape noir élégante, provenant d’une de ses boutique choix que l’on pouvait trouver sur les grandes avenues de Londres. Ecouteurs dans les oreilles, Gabriel connaissait presque tout du monde Moldu, et savait comment se servir des objets les plus banals comme les lecteur MP3 ou IPod.

Seize the Day de Avenged Sevenfold tournait en boucle dans ses oreilles, il allait saisir le jour, il allait saisir sa chance, il tourna dans une rue sombre, où les immeubles en piteux états se succédaient, il enleva nonchalamment ses écouteurs et les rangea dans sa poche intérieur ainsi que son petit engin, il tourna encore à gauche, et se retrouva dans une petite allé avec caché derrière quelques poubelles, une cabine téléphonique rouge et propre contrairement à son environnement.

Il déplaça comme un Moldu les poubelles et entra d’un air décontracté dans la cabine qui affichait hors service, la rue était déserte, il enchaîna une série de chiffre et la cabine descendit. Une mystérieuse voix froide et régulière parle, lui demanda son nom et prénom ainsi que l’objet de la visite, il répondit, et un badge sortit du petit bocal réservé aux pièces=. Sur ce badge il était inscrit : « Gabriel O’Brien – Demande d’emploi ». Comme la vois lui avait demandé, il sortit une fois arrivé et alla vers l’accueil pour se présenter, et faire identifier sa baguette, y fois fait, il se dirigea vers l’ascenseur et descendit au dernier étage.

Une étrange personne vint la chercher une fois arrivé et [à finir]