~ Description du personnage :
Appelez moi par mon nickname, voulez-vous ? Callez-moi Emy.
Une personne auquel on ne prête pas de suite attention. Plutôt la fille au fond de l'amphi qui observe sans rien dire. Ce qui est en total contradiction avec sa réelle personnalité: c'est une fille "bout-en-train" qui ne rate pas une seconde avant de s'amuser. Ainsi, la douce, tendre et joyeuse Emy se renferme sur l'image de la fille introvertie et asociale qui préfère rester seule plutôt que faire partie de la collectivité. Son seul problème serait, son regard bleu profond et sa peau douce. Car la carapace empêche les "salauds" de rentrer dans sa vie, car en général, ce ne sont pas eux qui insistent pour connaitre d'avantage notre étudiante en littérature.

~ Histoire du personnage :
Bruxelles, 22 novembre 1992.
C'était un lundi midi. Ce jour là, il neigeait, c'était la première tombée de la saison. Toute la famille Carter accourait à l'Hôpital le plus proche, l'hôpital Érasme. Fabienne Carter hurlait à la mort: " Il arrive ! Il arrive ! ", mais le trafic était chargé ; les routes n'avaient pas encore été déblayée à cause de la soudaineté du climat. 15h38, le travail a commencé, le bébé devait sortir dans la voiture, ou ne pas sortir du tout. C'est ainsi qu'à l'aide de Sophie, le médecin de la famille, et le soutient du papa, que la jolie Émeraude Carter sortit de l'utérus sanguinolent de sa maman dans la Yoyota familiale. Sa grand-mère la surnomma "petite-neige" en vu des évènements passés le jour de sa venu au monde (parce que "the bloody kid", ça le fait moyen moyen). C'est ainsi qu'a chaque fois qu'il neige, Émeraude repense à sa grand mère, avec des larmes toujours aussi abondantes, perlant sur ses joues.

Bruxelles, de 1992 à 2002.
Ses parents travaillaient énormément, et pour éviter l'étude ou encore la cantine à Émeraude, sa grand-mère venait la chercher, et la gardait . Elle était sa maman, plus que sa " grandma " ; elle était toujours là, présente quand elle se faisait mal, présente lors du carnaval, ou lors des différentes sorties organisées par l'école. C'était elle qui la récupérait le midi et le soir, qui l'aidait à faire ses devoirs, qui lui racontait de merveilleuses histoires, alors que sa " mum " biologique la ramenait juste à la maison et la réveillait le matin. Qui a besoin d'une maman quand on a une grand-mère attentionnée ? Personne. Entre temps, Mrs Carter a quand même passé neuf mois avec sa fille lors de sa grossesse, mais neuf autre mois lors de l'attente de son petit frère, Loyd, né deux années après l'accouchement cauchemardesque d'Emy. Bien entendu, après ces neuf mois de grossesse, Mrs Carter repris son travail de standardiste qui était pour ainsi dire, presque toute sa vie. Seulement, en 1998, elle se rendit compte qu'elle n'était pas vraiment la mère de ses propres enfants, elle n'avait jamais rien partagé avec eux, et tout l'amour nécessaire à leur épanouissement était donné par ses parents. Pour regagner sa place de mère, à juste titre, elle considéra qu'il fallait qu'ils déménagent à 30 kilomètres de chez ses parents, pour ainsi, faire en sorte qu'un " tranché " se forme entre les petits-enfants et leur grands-parents. Direction Ternat-Vitseroel.

Ternat-Vitseroel, de 2002 à 2006.
Un patelin en banlieue Bruxelloise, un collège à quinze bornes, et le manque de sa grand-mère. Inutile de précisé que ce changement fut très dur à supporter, à peine dix ans, et elle se retrouve comme seule, confrontée à elle même, dans un environnement qu'elle ne connait pas. Emy a tout perdu, ses amis, ses proches, et ses repères. Elle ne pardonnera jamais sa mère, qui soit disant voulait se rapprocher de ses enfants, mais elle ne supportait surtout pas que sa mère ai été plus proche de ses enfants qu'elle. Jalousie, quand tu nous tiens.
De plus, l'entrée au collège ne fut pas simple, Émeraude était une fille réservée, qui ne se lit pas facilement avec les personnes, il lui faut du temps, il faut qu'elle s'adapte. Et cette période fut étonnamment compliquée, car déjà, elle ne souhaitait pas se mélanger, ce n'était qu'injustice de la forcer à déménager, à changer d'école pour satisfaire l'égo blessé de sa mère. Ensuite, les élèves de cette école étaient, spéciaux. Elle ne se reconnaissait dans aucune de leurs plaisanteries, ou de leurs jeux ; c'était comme si ils ne connaissaient pas autre chose que leur village perdu.
Elle se mit à écrire, des pages et des pages ; à dessiner aussi. C'est à cette période là qu'elle imagina son futur : loin de sa mère, avec sa grand-mère, faisant une grande carrière d'écrivain à Bruxelles. Et il serait tous très fier et admiratif. La colombe avait trouvé un objectif, et elle allait absolument tout faire pour qu'il devienne réalité.

Bruxelles, de 2006 à 2007.
Le lycée. Renaissance et découvertes. Plaisirs et travail. Em' fut placée en internat, toujours sous l'influence de sa maman, qui refusait catégoriquement, (soit disant parce qu'elle n'arriverait pas à travailler correctement) de laisser sa fille chez ses parents. Émeraude la patiente, et la, totalement raisonnable, commença à faire les quatre-cents coups. Débauche, alcool, drogue.. Et j'en passe ; simplement pour faire réagir ses parents qui ne l'écoutait absolument pas. Seulement, ce temps là fut très court. C'était sa grand-mère. Elle était malade. Un cancer du colon qu'ils ont dit. Émeraude se repris très vite en main, et se promis de rester auprès de sa grand-mère jusqu'à ce qu'elle aille mieux. Ce qui n'arriva pas. Jours après jours, elle se desséchait, ressemblant de plus en plus à un pharaon de deux mille ans, le traitement était trop fort, et la douleur insupportable.
24 Avril 2007, sa grand-mère s'envola de son lit d'hôpital. L'émotion au plus haut, elle trouva une lettre, avec l'écriture de sa grand-mère :

Poudlard, de 2007 à aujourd'hui.
C'est aujourd'hui que tout ce joue. Études, avenir, ambition. Vengeance ? Non. Émeraude va juste honorer comme il se doit la mémoire de sa grand-mère, et ainsi, la rendre fière.


~ Objectif :
Devenir un écrivain reconnu dans le monde des moldus et de la magie.
Et après, surprise.

Ma mère m'avait accompagné. Malgré que nous ayons quelques différents, elle avait quand même tenu à venir. D'un côté, je n'aurai pas trouver l'entrée de ce quai 9, trois quart ? sans l'aide de ma maman. Un immense train se tenait devant nous ; des centaines d'élèves embrassaient leurs parents, semblaient se retrouver, je me sentais juste, exclue de ce rite de passage, d'arrivée. Le fait même de faire un câlin à celle qui m'a mise au monde me répugnait. Après tout ce qu'elle m'a fait, elle ma caché la magie, elle m'a éloignée de ma grand-mère ; la rancœur s'est accumulée durant les années, mais je ne lui causerais jamais de tort : c'est contre ma nature. " En voiture ! " C'était l'heure, il fallait monter dans le train, vers ma nouvelle vie, pleine de magie. Ma tête était pleine de rêve, moi qui avait toujours trouver les gens de mon lycée différents, en fait, j'étais peut être la plus différente de tous. Mais là, un nombre incalculable d'élèves me ressemblant, des personnes qui peut être ont un passé similaire au mien, des mensonges sur notre vrai identité ou encore des années scolaires passées seul. L'espoir, le rêve c'est à peu près tout ce qu'il me reste en fait.
Je tourne la tête, elle me regardait, les yeux brillant, le sourire discret, elle me regardait. Ce n'est que lorsque les portes se sont fermées que j'ai compris l'utilité des embrassades : je n'allais pas revoir mes parents avant les prochaines vacances, ni mon frère qui croit que je suis juste partie à Paris pour faire des études de lettres, ni même mon chien, Teddy. D'un pas lourd, je rejoignis un wagon, un des seul qui avait l'air à peu près calme, seulement deux élèves y étaient déjà installés. Par un heureux hasard, la place à côté de la fenêtre était libre, la meilleure place pour méditer, et pour pleurer. Seulement quelques minutes après, le train s'arrêta, me faisant basculer vers le siège en face de moi. " Les premières années par ici ! " Étions-nous déjà arrivé ? J'ai du m'endormir pendant le trajet, car en plus de cela, un filet de bave coulais sur mon menton.. Que j'ai bien entendu essuyé très rapidement. Les personnes autour de moi se bousculaient pour pouvoir sortir du wagon, ils étaient tous habillés d'une étrange façon : Tout en noir, avec des sortes de cape, des jupes, des pantalons... Ah, l'uniforme ! Avec mon assoupissement j'ai oublié de me changer ! A toute vitesse, je m'habilla, et je rejoignis les autres, ceux qui comme moi, rentrais dans cette école pour la première fois. Seulement, je ne voyais pas d'école, il faisait sombre, et la seule chose que je percevais était l'odeur immonde de l'eau. Et je voyais juste, une sorte de grand lac se tenait à quelques mètres de la gare, rempli de petits bateaux à lanterne. Grotesque. Ils n'ont pas inventé les ponts dans le monde de la magie ? Les voitures n'existent pas non plus ? Mais ou suis-je ?
Un homme nous indiqua de monter dans les barques, ce que je fis, à priori, c'était le seul moyen d'accéder au château. La traversée fut magique, même si nous étions très serrés dans ces bateaux. L'eau, le château, les illuminations, et le ciel, si noir et sombre. L'ensemble m'a fasciné, et dire qu'avant j'étudiais dans un lycée de Bruxelles ou la façade extérieur ressemblait plus à une prison qu'a un lycée.
Les barques heurtèrent alors la terre, les élèves descendirent un part un, et nous se dirigeaient vers le château. Je fut pratiquement la dernière, ne m'empêchant pas de regarder le ciel. Je voyais, quelques étoiles, mais surtout, des dessins, des formes. Enfin, l'homme se gratta la gorge et me fit comprendre que j'aurai tout mon temps pour admirer le ciel, un autre soir. Je n'avais sympathisé avec personne, j'étais seule, et je découvrais les couloirs de ce château ; les tableaux bougeaient : j'ai vu les personnages nous saluer, et cela n'avait pas l'air d'être des écrans, ils étaient réels. Je compris alors vraiment la signification de cette école : déjà j'ai traversé un mur de pierre, je traverse un lac sans ramer, et puis là, des tableaux qui bougent.. Impressionnant.
Un autre homme arriva, et nous demanda d'attendre devant une immense porte qui devait surement être en or. Il demanda le silence, et commença à parler : " Bienvenue à Poudlard, école de sorcellerie. Il y a de grande chance que plusieurs d'entre vous meurt dans cet établissement.. " Chacun regarda son voisin d'un air interrogateur et effrayé avant que l'homme en noir reprenne : " Bien entendu, cela n'arrivera pas (Sarcasme). Passez ces portes, vous allez être appelé, et vous serez répartis dans différentes maisons : Poufsoufle, Serdaigle, Gryffondor, et Serpentard. Puis, vous rejoindrez la table attribuée à votre maison, qui le restera jusque la fin de votre scolarité. A présent, veuillez me suivre, la cérémonie va commencer. "
Les portes dorées s'ouvrirent, nous y étions, la grande salle, avec son plafond magique, et ses grandes tables. Beaucoup d'élèves étaient déjà installés, ils nous regardaient, pour la plus part, nous dévisageaient, mais cela m'étais égal, la question qui me turlupinait était : A quoi correspondent les différentes maisons, et comment nous répartissent-ils ? C'est du hasard comme chez les moldus ? C'est fait automatiquement par ordinateur et imprimé sur papier ? Et bien non. La seule chose présente devant la table des professeurs était un chapeau. Et puis bien sur, un tabouret. L'homme sortit un parchemin, et appela les premiers élèves. Ils s'asseyaient, et mettaient le chapeau sur leur tête. Stupéfaction : le chapeau parle. C'est lui qui nous répartit, il lit dans notre tête nos caractéristiques, et puis, il choisit une maison. " Émeraude Carter ". Je m'avança, et il mit le choipeau sur ma tête : " Tu ne connais pas la magie pas vrai ? Tu es sceptique, je le vois dans ta tête. Cependant tu es fascinée par ce qui t'entoure et tu n'as qu'un seul objectif, devenir célèbre. Mais ton ambition se marie avec un grand talent, tu es travailleuse, solitaire, et réfléchie. Huum. Un choix difficile, mais tu serais dans ton élément chez les ... "

~ Votre âge : 17 ans
~ Votre expérience en RP : il y a 2 ans j'étais très active, mais avec le lycée, les exams, j'ai du arreter, et là, voici les vacances, je m'y remet pour j'espère un long moment.
~ Des remarques sur le forum ? : Pas pour le moment
~ Comment avez-vous découvert ce forum ? : Google je crois, mais je ne sais plus vraiment.